Ressources
Les ressources qui suivent vous aideront à trouver des renseignements sur l’aide médicale à mourir.
Ressources nationales
- Code criminel du Canada tel que modifié par le projet de loi C-14, 42e législature, 1re session, Canada, 2016
- Contexte législatif : aide médicale à mourir (projet de loi C-14)
- Contexte législatif : aide médicale à mourir (projet de loi C-14) – Addendum
- Rapport du comité mixte spécial sur l’aide médicale à mourir du gouvernement du Canada
- Association médicale canadienne, « Une approche fondée sur des principes pour encadrer l’aide à mourir au Canada »
- Énoncé de principes sur l’aide médicale à mourir de l’Association Canadienne d’Oncologie Psychosociale (en anglais seulement)
Ressources provinciales
- Collège des médecins et chirurgiens du Manitoba, « MAID Update » (en anglais seulement)
- Ordre des infirmières et des infirmiers du Manitoba, « Medical Assistance in Dying » (comprend les directives de pratiques sur l’aide médicale à mourir pour les infirmières et les infirmières autorisées [infirmières praticiennes] du Manitoba) (en anglais seulement)
- Énoncé de principe de l’Ordre des pharmaciens du Manitoba (en anglais seulement)
- Document d’information sur l’aide médicale à mourir de l’Association des travailleurs sociaux du Manitoba (en anglais seulement)
- Page Soins palliatifs de Santé Manitoba : comprend des outils et des renseignements sur les offices régionaux de la santé, les centres et les lits de soins palliatifs, les directives en matière de soin de santé et la planification préalable des soins, la santé mentale et les programmes fédéraux d’aide financière
Ressources PDF offertes sur le site de Soins communs
- Dépliant d’information imprimable à l’intention des patients
- Formulaire du patient pour la demande d’aide médicale à mourir (Manitoba)
- Document résumé de l’aide médicale à mourir à l’intention des fournisseurs de soins de santé du Manitoba
- Politique de Soins communs sur l’aide médicale à mourir
- Protocole de règlement des plaintes liées à l’aide médicale à mourir (en anglais seulement)
- Protocole de transfert des soins en cas d’aide médicale à mourir (en anglais seulement)
Ressources éducatives
- Ressources de l’Association canadienne des évaluateurs et prestataires de l’aide médicale à mourir
- Liens vers l’échelle d’évaluation de la fragilité et d’autres échelles d’évaluation, les lignes directrices en matière de pratiques cliniques et divers articles
- Modules de formation sur l’aide médicale à mourir (en anglais seulement), hébergés sur le portail LerningHub des Provincial Health Services Authority de la Colombie-Britannique
- Pour les infirmières et les médecins cliniciens et prescripteurs
Autres ressources
- Portail canadien en soins palliatifs
- Ressources éducatives, forums de discussion, articles et outils à l’intention des patients, des familles et des fournisseurs de soins de santé
- MyGrief.ca
- Ressources à l’intention des proches et des fournisseurs de soins de santé (en anglais seulement)
- Conseil des académies canadiennes, « Aide médicale à mourir »
- Portail Soins en fin de vie du gouvernement du Canada
- Renseignements sur les soins palliatifs, l’aide médicale à mourir et les options et prise de décision en matière de fin de vie
Vidéos (en anglais seulement)
Dre Kim Wiebe (équipe médicale)
La Dre Kim Wiebe, autorité administrative principale de l’équipe clinique provinciale de l’aide médicale à mourir, donne des détails sur l’aide médicale à mourir, les personnes autorisées à l’offrir, les patients admissibles et la façon dont elle est offerte au Manitoba. Elle en décrit les procédures, en détaillant les tâches de l’équipe clinique d’aide médicale à mourir et les procédures d’évaluation, de demande écrite et d’administration des médicaments.
Lori Lamont (message aux infirmières)
Lori Lamont, infirmière en chef de l’Office régional de la santé de Winnipeg, explique le rôle que doivent jouer les infirmières pour évaluer et soulager la douleur et la souffrance des patients, en soulignant l’importance des vertus thérapeutiques de la discussion. Elle présente la responsabilité professionnelle des infirmières à l’égard de l’aide médicale à mourir, du partage de renseignements et du soutien à la prise de décision éclairée. Elle aborde le sujet des objections de conscience et propose des pistes de réflexion pour discuter des valeurs et s’assurer que les patients reçoivent les soins appropriés.
Jennifer Dunsford (objections de conscience)
Jennifer Dunsford, directrice des services déontologiques de l’Office régional de la santé de Winnipeg, présente le principe des objections de conscience ainsi que les obligations en matière d’aide médicale à mourir de tout fournisseur de soins de santé. Elle insiste sur les vertus thérapeutiques de la communication sur l’évaluation et le soulagement de la souffrance et souligne l’importance du lien de confiance établi entre un fournisseur de soins de santé et un patient qui lui demande l’aide médicale à mourir. Elle termine en présentant les trois étapes à suivre en recevant une demande d’aide médicale à mourir : recevoir, répondre et communiquer.
Erin Little (équipe de soins infirmiers)
Erin Little, coordinatrice des soins aux patients pour l’équipe clinique d’aide médicale à mourir, décrit les différentes tâches de l’équipe de soins infirmiers : triage des demandes des patients; participation aux évaluations de l’admissibilité et à la prestation de l’aide médicale à mourir; suivi de deuil. Elle explique les procédures d’évaluation des valeurs auxquelles doivent se soumettre toutes les infirmières afin de déterminer les étapes de l’aide médicale à mourir auxquelles elles sont à l’aise de participer. Elle insiste sur l’importance de maintenir un dialogue avec les patients à propos de la souffrance, de la gestion des symptômes et de la prise de décision éclairée.
Fred Nelson et Megan McLeod (équipe de travail social)
Fred Nelson et Megan McLeod, travailleurs sociaux au sein de l’équipe clinique provinciale d’aide médicale à mourir, discutent des services de soutien aux patients, aux familles et aux fournisseurs de soins de santé. Ils donnent des pistes sur la façon de discuter avec les patients et leurs familles de sujets délicats comme les émotions, les antécédents personnels et familiaux, les relations complexes, la souffrance et sa signification et le but des soins. Ils expliquent également l’importance de la discussion continue avec l’équipe de soins de santé existante du patient pour assurer un suivi des soins, mais surtout l’aider à faire face aux situations nouvelles et difficiles qu’entraîne l’aide médicale.
Shawn Bugden (milieu pharmaceutique)
Shawn Bugden, professeur agrégé au collège de pharmacie de l’Université du Manitoba, explique le rôle joué par les pharmaciens dans les soins palliatifs et les soins de fin de vie ainsi que l’incidence de l’aide médicale à mourir sur leur pratique. Il souligne que même si la plupart des pharmaciens ne seront pas appelés à fournir des médicaments d’aide médicale à mourir, ils jouent tout de même un rôle prépondérant dans les discussions sur les soins de fin de vie. Il aborde également le sujet des objections de conscience et des obligations professionnelles des pharmaciens et propose des pistes de réflexion.
Prêtons l’oreille — Mike Harlos
Dr Mike Harlos, médecin en soins palliatifs à l’Office régional de la santé de Winnipeg, dévoile des stratégies auxquelles peuvent recourir les fournisseurs de soins de santé lors des discussions sérieuses avec leurs patients. Il présente plus précisément des façons d’introduire des sujets délicats et de répondre à des questions inattendues. L’un des articles qu’il a publiés, Arrêtons-nous et prêtons l’oreille, présente également des solutions pour s’atteler au problème de la souffrance chez les patients.
Caitlin Buchel (orthophonie)
Caitlin Buchel, orthophoniste au sein de l’équipe clinique d’aide médicale à mourir, explique les stratégies d’aide à la compréhension et à l’expression utilisées pour évaluer les habiletés de communication des patients et veiller à ce qu’ils aient accès à tous les outils nécessaires et offre des conseils pour agir à titre d’intermédiaire en communication. Elle souligne la responsabilité qu’ont les orthophonistes d’aider à ce que la voix des patients avec des difficultés de communication soit bien entendue.